« ... Il les embrassera tour à tour, et nos larmes seront des pleurs de joie et non plus de chagrin, car il sera passé, le temps de nos alarmes, et... > Lire la suite
« ... Il les embrassera tour à tour, et nos larmes seront des pleurs de joie et non plus de chagrin, car il sera passé, le temps de nos alarmes, et le ciel menaçant redeviendra serein. Et tel un voyageur attardé par les brumes, il puisera, dans l'âme ardente du pays, la force de reprendre, au foyer des coutumes, l'espoir qui nous guérit des tourments inouïs ! » Dans ce long poème en prose paru en 1942, Henri Farémont nous offre une petite ode hommage aux prisonniers de guerre.