Obscur sur la lie du noir qui demeure obscur dans la fibre d'une glose sans salut, l'obscur sève
du soir rempailleur des ailes des martinets
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Obscur sur la lie du noir qui demeure obscur dans la fibre d'une glose sans salut, l'obscur sève
du soir rempailleur des ailes des martinets
échardes d'obscur.
Lente demeure du sombre
ou d'une seule note tressée dans le sparte, non pas noir mais obscur.
Texture d'ombres frôlées par l'espoir d'un rai égaré en nous. Sourcier
du sang qui nous contient obscur.
Giovanni Angelini est poète et traducteur.