Lorsque le passé refait surface... Au cour de l'été, à quelques kilomètres d'Huelgoat, trois vieillards sont découverts morts, nus, emmurés dans... > Lire la suite
Lorsque le passé refait surface... Au cour de l'été, à quelques kilomètres d'Huelgoat, trois vieillards sont découverts morts, nus, emmurés dans une crypte d'une ardoisière abandonnée. Le commandant de police de Brest, Neïrem de Kerbidoc'h, jolie épicurienne, moderne et truculente, parfois légère mais opiniâtre et entêtée, va tout faire pour tenter de résoudre le mystère de ce triple homicide hors du commun. Les talons aiguilles bien plantés dans le Chaos, elle nous raconte son enquête, une course contre la montre, noire et rose, entre la Bretagne, l'Allemagne et l'Italie, qui réveillera les fantômes du passé. Une enquête captivante menée par une policière au caractère bien trempé !EXTRAITElle lui demanda de patienter, lui dit que je terminais ma série.- Neïrem, il me demande de te dire que c'est assez urgent !- « Assez urgent » ? C'est ce qu'il a dit ? - Oui, il a dit « assez urgent ».- Tu peux lui demander ce que ça signifie « assez urgent » ?Monotone et lasse, elle lui dit que je demandais ce que signifiait « assez urgent ».- Il me dit « urgent comme triple trépas ».Je posai la corde et rejoignis l'accueil en m'épongeant délicatement le visage. J'avais quand même un peu hâte de savoir ce qu'entendait Gwendal par « triple trépas ». CE QU'EN PENSE LA CRITIQUEÉditions Bargain, le succès du polar breton. - Ouest FranceOn visite Huelgoat comme si l'on y était. Et la personnalité de son héroïne-narratrice (une jeune femme au caractère bien trempé et particulièrement en phase avec son époque et sa ville) contribue au rythme de ce roman, par ailleurs bien écrit et qui s'achève de façon. peu banale pour ce genre littéraire. - ActuÀ PROPOS DE L'AUTEURVincent Cabioch vit à Brest où il travaille dans le secteur du spectacle pour une compagnie de théâtre et à l'Université de Bretagne Occidentale. 5 Diables verts à Huelgoat est son premier roman. Il l'a écrit en hommage à son arrière-grand-père, Henri Cabioch, abattu par des soldats allemands, le 5 août 1944, avec quatorze autres habitants de cette commune.