"Cher Liszt, à travers les brumes, par-delà les fleuves, par-dessus les villes où les pianos chantent votre gloire, où l'imprimerie traduit votre sagesse, en quelque lieu que vous soyez, dans les splendeurs de la Ville éternelle ou dans les brumes des pays rêveurs, improvisant des chants de délectation ou d'ineffable douleur, ou confiant au papier vos méditations abstruses, chantre de la volupté et de l'angoisse éternelles, philosophe, poète et artiste, je vous salue en l'immortalité. ".